Mireille MAQUOI | Presse
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La presse en parle 

Entrée Libre : Mireille Maquoi , autrice namuroise

Mireille Maquoi est une autrice namuroise confirmée. On lui doit de nombreux romans. Ses histoires sont prenantes. Elle nous parle d’une jeune femme qui a perdu la vue suite à une tentative d’assassinat, ou encore d’une gestation pour autrui.
Des histoires simples et compliquées .Elles nous font profondément réfléchir sur le sens de la vie .

https://www.canalc.be/entree-libre-mireille-maquoi-autrice-namuroise/?fbclid=IwAR0RfuwHGyiUiPKHz5JEs2X6C3sPGlY9DXpXQcFMZZtzTjh0w8dixeH49-8 

 

 

 

LA FIANCEE DE SAMARCANDE

 

Article du journal Vosges matin 15/03/2018

 

ENTRAVES ET TENTATIONS

Mireille Maquoi signe un roman qui met en exergue l’infinie capacité des gens à piétiner leurs idéaux par amour ou par devoir.

L’avenir, 30 mars 2015.

 

« Entraves et tentations », un ouvrage passionnant s’appuyant sur une part de réalité, dans un style ciselé et très agréable à lire. Mireille Maquoi fait montre de tout son savoir-faire littéraire, de sa sensibilité et d’une créativité que l’on découvre au fil des pages, dans des dialogues très réalistes et au cœur de descriptions superbes au service d’une trame qui accroche le lecteur ; en résumé, un superbe roman que l’on a du mal à quitter et dont on garde le fil de l’histoire en mémoire. A lire d’urgence…

Vosges matin, 23 mai 2015.

 

« Entraves et tentations », un thriller sans meurtre et sans violence physique, l’auteur a un don pour créer des personnages multifacettes.

Rencontre avec Christine Pinchart, RTBF, 3 juin 2015.

 

Pour les adeptes de thriller et amoureux des belles lettres, c’est vers Mireille Maquoi qu’il faut se tourner. Son écriture fluide, érudite et accessible, se met au service d’une intrigue et d’une étude psychologique poignantes. Cette auteure belge prend au sérieux la légèreté d’écrire et le lecteur se laisse aller au fil des mots élégamment posés. Il suit l’héroïne, Lise, de la Côte d’Opale en Amérique latine, avec un dénouement qui ne paraît logique qu’après avoir surpris.

Le Dauphiné, 21 novembre 2015.

 

KATIA

Katia, la jeune infirmière bruxelloise, a accepté de se livrer à Mireille, l’écrivain.  Ses hauts, ses bas. La douleur de perdre la vue soudainement, en pleine fleur de l’âge. Jusqu’à l’acceptation de cet état de fait. Et l’apparition de l’envie d’aller de l’avant. De remordre dans la vie. « En racontant mon parcours à Mireille pour qu’elle l’écrive, je revivais toutes les étapes, dit aujourd’hui Katia. C’est une chance, ce livre ; je l’ai lu, elle a réussi à faire passer les émotions même les plus douloureuses. Mon chemin n’est pas fini, même si j’ai de nouveau goûté au bonheur. Il faut se battre pour trouver sa place dans le noir. »

Le Soir, 24-25 novembre 2012.

 

FLAUBERT

Une fois ouvert, ce roman saisit son lecteur pour ne plus le lâcher. L’écriture a sa part de responsabilité dans cet art mystérieux d’accrocher le lecteur. Mireille Maquoi manie à merveille la langue française, dosant avec charme et à propos vocabulaire recherché, termes courants, langage parlé et même wallon et argot. Bref, le mot juste pour chacun. Un excellent cocktail dont l’autre ingrédient majeur est le rythme : phrases bien balancées, dialogues, chapitres brefs. Notons encore le souci de justesse dans la description de la partie policière et judiciaire, qui n’enlève rien au plaisir de lecture.

Confluent, 24 février 2012.

 

En version originale :

On lîve qui dj’vos r’commande, bin scrît, fwârt auji à lîre, li preûve di ça, quand on l’a c’mincî, on z-a dès rûses di s’arêter…

Cocorico, sept.-oct.-nov. 2012.